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RENCONTRE AVEC JEANNE PUCHOL Le vendredi 14 octobre 2016, deux classes de seconde sont allées au CDI pour rencontrer la dessinatrice du roman graphique « Contrecoups ». Cette BD rend hommage à un jeune étudiant, frappé à mort lors d’une manifestation, l’étudiant s’appelait Malik Oussekine. Tout d’abord Mme Puchol nous a demandé de présenter nos deux classes puis nous a montré les différentes étapes de la réalisation d’une BD : « je reçois le scénario, le texte, puis je fais la disposition de la page grâce aux différentes planches ». Pour cette bande dessinée, nous avons appris que le scénariste écrivait l’histoire au fur et à mesure en fonction des dessins de Mme Puchol. Elle nous a parlé des circonstances de la mort de Malik Oussekine. « Je n’étais pas étudiante à l’époque mais la mort de Malik Oussekine m’avait beaucoup choquée » nous a-t-elle dit. Puis elle nous a présenté des photos qu’elle avait prises et qui montrent en détail les lieux du roman. « Inspiration de faits réels donc il fallait des détails » nous déclare Mme Puchol. Pour réaliser ses dessins elle fait d’abord des esquisses rapides avec des représentations de personnages réels, puis place les pages comme elles le seront dans l’album. Elle nous a ensuite dit : « Contrecoups est la seule bandes dessinée que j’ai faite en lettrage numérique » (c'est-à-dire écrit sur l’ordinateur). Elle nous a aussi parlé des avantages d’être dessinatrice, en nous disant qu’elle pouvait travailler chez elle en pyjama si elle le souhaitait et que c’est un travail avec une paix royale, c’est un métier solitaire où il faut avoir beaucoup de volonté. Puis nous lui avons posé plein de questions sur les études de photographie qu’elle a faites ou sur la réalisation de la BD. Elle a donc mis un an et demi pour concevoir cette BD et qu’elle la voyait un peu comme une série télévisée. Ce fut une très belle rencontre avec à la fin un goûter pour chaque élève Nous avons adoré lui poser des questions. Je vous conseille vraiment son roman graphique qui raconte une histoire touchante ainsi qu’un évènement réel. Camille Roussel 203 club manga au cdi Les nouveautés mangas sont arrivées, à l’occasion un club manga ouvre ses portes et propose une immersion dans cet univers.
Une réunion mensuelle est organisée au CDI afin de procéder à différentes mises en place d’actions ou de projets mais aussi et surtout pour favoriser le dialogue et l’émulation entre les différents membres qui pourront alors faire part de leurs impressions, débattre sur différentes œuvres et bien entendu proposer d’éventuels achats pour le CDI. Amateurs, experts ou même étrangers à cet art, cette culture, cette passion qu’est le manga, vous êtes tous conviés, quelle que soit votre expérience dans ce domaine, à apporter votre opinons, à participer à la progression et à l’évolution de cette branche encore naissante de notre culture commune qui grâce à votre participation pourra s’épanouir au sein-même du lycée. Feger Jules 1S1 "Stephen King, le maître des frissons" "Ça" Ça… Stephen King marque son passage, comme toujours, avec "Ça", un roman riche en émotions, qui vous marquera à jamais. Un récit bourré de scènes traumatisantes, pour les amateurs de frissons, Ca vous coupera le souffle ; avec un petit être dont l’esprit naïf enfantin, l’a traîné à la recherche de son bateau pour finalement y laisser son bras, arraché par "Ça" , lui provoquant une mort lente et douloureuse… ou un pécheur qui avait comme intention de dissiper ses idées, ne songeant guère à ce qui pourrait lui arriver... A travers l’étrange créature, il nous laisse réfléchir sur nos sentiments et nos peurs. "Ça", la créature qui interprète vos phobies, tel que l’épouvantard*, vous hantera . L’aventure des protagonistes, qui a débutée dès leur jeune âge, est marquante, non pas à cause de leur jeune âge, mais de l’atrocité des faits. Ces faits haletants, les ont uni à jamais ; malgré la distance et le temps, leur aventure reprendra et les soudera à jamais en les marquant, en les privant d’êtres chers, pour certains… RAOUDH Naoures, 1S3 Qu'ils soient physiologique ou psychologique, la représentation de nos différents aspects divergent… L'autoportrait : en peinture, la vérité est possible ? Comment nous nous voyons et comment les autres nous regarde ? Et surtout, est-ce que nous nous acceptons tel que nous sommes ? C'est actuellement sur le triple autoportrait de Norman Rockwell datant de 1960 que travaille la classe 1L2. Le premier travail a été d'analyser la perception qu'a le peintre sur lui-même par son triple auto-portrait. Tout d'abord, le titre induit que Norman se voit de 3 différentes manières : objective, subjective et caricaturale. En effet il essaie de se voir de manière objective, mais cela est quasi-impossible. Il faudrait pour cela une personne neutre, ce que nous ne sommes pas. Pourtant, en se représentant de dos, Norman parvient à mettre en scène du mystère. Nous ne le voyons pas complètement. Norman Rockwell suggère également une vision subjective de lui-même. Mais celle-ci dépend des autres, des spectateurs. Il se dessine de manière à se mettre en avant : la pipe bien droite, plus jeune. Enfin,il se peint de manière caricaturale. C'est l'auto-dérision. Cela est important lorsque nous nous décrivons. Il faut savoir prendre du recul, car seul nous-même sommes en capacité de se comprendre pleinement. Et surtout accepter le fait que les autres, par leurs expériences, nous voit tel que eux-même le souhaitent. Le reflet du peintre dans le miroir est amusant, nous ne voyons pas ses yeux, seulement ses lunettes, il paraît plus âgé et plus sombre. Pour continuer sur la question de nos multiples aspects. Les élèves ont créent des selfies d'eux-même en y introduisant deux côtés de leur personnalité. Être, nôtre vérité Nous pouvons donc en conclure que ce que vous êtes ne dépend uniquement que de vous-même. Quoique les autres puissent dire, la vérité ne se saura jamais. Car une histoire ou une image véridique n'existe pas. La vérité a plusieurs visages. Elle dépend de notre volonté, de nos pensées, du but vers lequel nous tendons, de celui où nous finissons par arriver. Chaque Homme possède sa propre vérité. Et parce que nous avons tous des côtés cachés, parce qu'il y a ceux que nous cachons et ceux que les autres nous cachent, nous ne pourront seulement voir qu' une parcelle de l'autre. Mais jamais sa personne entière. Peut-être que pour pouvoir faire notre auto-portrait, il faudrait prendre en compte l'avis de tout notre entourage. Mais bien-sûr, la question de la vérité complète reste en suspension. Laurianne Gully Unser Projekt beginnt mit folgender Frage: Einen (Fort)schritt weiter für Deutschland?
Wir haben Erfindungen aus den deutschprachigen Ländern entdeckt. Wir präsentieren sie und hinterfragen sie auch kritisch. Dann stellen wir Vorteile vor. Erstens hat unsere Klasse Erfindungen aus Deutschland und aus der Schweiz entdeckt, zum Beispiel die Marken Haribo oder Stabilo, das Papiertaschentuch, den Airbag, usw. Zweitens haben wir die Geschichte vom Label « Made in Germany » entdeckt. Jetzt wissen wir, dass Produkte «made in Germany» im 19. Jahrhundert britische Produkte kopierten. Aber nicht gut. Dann hat das englische Parlament 1887 eine neue Fassung des « Merchandise Act » gemacht und das Label "made in Germany" gemacht. Dann verbesserte sich aber die Qualität der deutschen Produkte. Heute ist das Label « made in Germany » das Beste, die Produkte dauern lange, sind ökologisch und umweltbewusst. Viele Länder machen « Made in Germany » nach, zum Beispiel Russland. Russische Firmen geben ihren Produkten Namen, die deutsch klingen. Wir können auch mit Sirolin, einem Sirup gegen Tuberkulose, Fortschritte in der Medizin bemerken. Er wurde von den jungen Chemikern Carl Schaerges und Emil Barell erfunden. Damit können wir uns fragen, ob alle Erfindungen ein Fortschritt sind: Sirolin war wirkungslos! Schließlich fragten wir uns, ob der Mensch manchmal den Zauberlehrling spielt. Wir haben zu diesem Thema der Ballade von Goethe debattiert. Also können wir sagen, dass der Mensch sehr gute Sachen machen kann. Aber er kennt seine Grenzen nicht und das kann gefährlich sein. Das war die Präsentation von unserem Projekt! Die Klasse 1L2 hofft, dass ihre Ausstellung Ihnen Spaß macht." Ferien und Arbeit
Liebe junge Leute ! Hier gibt es Informationen zu dem europäischen Freiwilligendienst ! Es ist ein Programm, wo ihr anderen Personen helfen könnt. In diesem Programm könnt ihr:
Ihr müsst zwischen 18 und 25 Jahre alt sein!!! Außerdem sollt ihr Teamarbeit mögen und euch für andere engagieren wollen. Es gibt viele Vorteile, liebe junge Leute
…super , um eine Sprache zu lernen ! …nützlich, um eine soziale Erfahrung zu haben ! …interessant, um neue Personen kennenzulernen ! …perfekt, um einen ♥Schatz♥ zu treffen ! … lustig, um mit Kindern zu spielen ! Ihsan und Delphine, 1L2 Suite à un voyage organisé par le lycée, nous sommes partis à Toulouse durant 4 jours, du lundi 14 novembre au vendredi 18 novembre dernier. Nous allons surtout vous présenter notre journée du mardi, qui fut particulièrement enrichissante pour nous car après avoir visité le musée Aéroscopia où étaient exposés toutes sortes d'avions d'époques différentes, nous avons passé l'après-midi à visiter le complexe industriel d'Airbus qui, d'ailleurs, n'était pas très loin du musée Aéroscopia. Le complexe Airbus s’étend sur 700 hectares, il est en concurrence avec Boeing. Pour le côté historique, la naissance des avions à eu lieu à Toulouse. Pour visiter le complexe, nous avons pris le bus. Nous y avons fait le tour du complexe. Il y avait également une guide qui nous expliquait tout ce qu'il fallait savoir sur cet immense complexe qu'est AIRBUS. Nous avons pu retenir qu'il existe 4 familles d'avions, le A320, le A330, le A350 puis le dernier, le A380. 850 passagers… 400 millions d’euros Nous avons eu la chance d'aller voir plusieurs Airbus A380 en construction du haut d'un bâtiment. On peut noter qu'un Airbus A380 fait la taille d'un stade de football. Cet avion peut transporter 850 passagers. Pour information, l'Airbus A380 vaut plus de 400 millions d'euros, soit 435 millions de dollars, c'est énorme ! Nous avons vraiment beaucoup apprécié cette journée, c'était très intéressant, et nous avons appris énormément de choses en ce qui concerne l'aviation. Tom N'Guyen Julien Wittemann C'est avec beaucoup d'émotion que nous recevons Jacques Saurel, ancien déporté juif durant la Seconde Guerre Mondiale, dans notre Lycée Schweitzer ce 4 Octobre 2016. Il s’assoit face à nous, et avant même de commencer son histoire nous explique que la pitié n'est pas de rigueur puisqu'il est aujourd'hui ici à Mulhouse, bien vivant. Et c'est donc avec une voix chevrotante que Jacques nous emmène à travers un périple dans le passé et qui commence en 1933, année de sa naissance. Il vit avec ses parents, émigrés Polonais, ainsi que ses 3 frères et sœurs. Son père va leur sauver la vie car il s’est engagé volontairement dans les bataillons étrangers. Jacques est encore un enfant, mais il a connu les restrictions : alimentaires ou vêtements. C'est la période de l'Exode où plus de 2 millions de personnes sont sur les routes, fuyant la guerre. Sa famille ira se réfugier dans un petit village campagnard, à l'écart. « Heureux sont ceux qui ont des souvenirs » Émile Zola Pourtant notre conteur sourit en nous évoquant un souvenir. Son père revenant de la guerre lors d'une permission, vient fêter Noël avec sa famille. Et c'est en 1939 que le petit Jacques découvre que le Père Noël n'est autre que son papa. En effet, ils vivaient dans une grande pièce commune, impossible donc de cacher les cadeaux. "Ces petites choses anodines qui enrichissent la vie" Mais nous explique-t-il, ce sont ces petites choses anodines qui enrichissent la vie. Tout se complique en juin 1942, où le port de l'étoile jaune est obligatoire. Seulement ce petit enfant de 9 ans, prenait cette étoile comme une distinction vis-à-vis des autres, il se sentait fier de cette étoile qui le rendait tel un héros. Une époque d'insouciance nous explique-t-il, car en effet, il ne prend pas trop de temps à comprendre que cette étoile est source d'insulte, de méchanceté et d'horreur. Un paradoxe présent chez les enfants. La femme et les fils de son grand-père se feront arrêter lors d'une grande rafle. Son grand-père ira de lui-même les rejoindre dans le vélodrome d'Hiver. Un acte impressionnant. Effectivement, durant cette période nous entendions parler de camps ou encore de destination inconnue. Et c'est ainsi que j'ai connu la peur sous différentes formes, nous raconte Jacques. L'atrocité d'être humain Le 4 février 1944, sa famille se fait arrêter. Ils se laissent entraîner dans un autobus et arrivent au camp de Drancy pour une période de 3 mois. Il décrit ce moment comme la prise de conscience qu'il ne sera à présent plus libre. Il passera par la barque de fouille, comprendra que le camp est source de maladie telle le Typhus. Que le taux de suicide est extrêmement élevé et que l'hygiène est limitée. Puis, lui et sa famille repartent pour l'Allemagne, dans un paysage de désolation et de misère. Les regards sont suppliants, l'atmosphère lourde. Les ordres sont brutaux. Des miradors, des barbelés, un paysage de guerre. Les prisonniers sont contraints de se doucher tous ensemble, de devoir, durant l'appel, rester des heures debout sous un soleil de plomb ou dans le froid glacial sans bouger. Les corps des morts sont brûlés ou entassés dans un coin. Jacques a 12 ans. Enfin le 4 mai 1945 ils repartent en train, Paris a été libéré depuis longtemps. Le train se fait bombarder par des alliés, croyant que c'était des soldats allemands. Jacques et sa famille atterrissent dans un village abandonné. Un mois plus tard, deux soldats américain, à la recherche de leurs femmes, les trouvent. Le 25 juin 1945, ils arrivent à la gare de l'Est à Paris, où le père les attendaient. Il finit sur ces mots : « C'est une atrocité d'être humain quand je vois toutes ces horreurs ! » Effectivement, Jacques est un fervent défenseur des enfants, il nous explique : « Nous n'avons pas le droit de nous en prendre aux enfants, leur enlever la vie, car ne rien faire, ne pas jouer pendant la guerre c'est subir sa souffrance. Un enfant qui ne rit plus est condamné. » Merci infiniment à Jacques qui a aujourd'hui 83 ans et qui vit. C'est une magnifique et authentique leçon de vie qu'il nous donne. Laurianne Gully Et quelques témoignages d'élèves qui ont assisté à la rencontre avec M. Saurel : "A mes yeux, ce monsieur de 83 ans méritait le plus grand respect possible : malgré toutes les épreuves qu'il a traversées, il en ressort plus vivant que jamais, avec des valeurs de bonté, de gentillesse, de respect, mais surtout d'humanité. Les nazis lui ont pourtant tout pris (...) Et pourtant il était là, devant nous, plus de 70 ans après, toujour bien vivant et heureux d'être encore sur cette terre" "Ce témoignage fut un réel moment de réflexion sur la condition humaine avec ses actes de bravoure et d'amour mais aussi sur ses actes barbares et inhumains. Il est probablement impossible d'imaginer ce qu'ont vécu les personnes déportées mais ce témoignage m'a permis de m'en faire une image plus nette." "Hier, lorsque M. Saurel nous a fait part de son témoignage, j'ai été très bouleversé. Je ne comprends pas et ne comprendrais jamais que de tels actes ont pu être commis." "Il a d'ailleurs un dynamisme étonnant pour une personne de 83 ans. Et par rapport à ce qu'il a vécu, je trouve qu'il ne garde en lui aucune rage et aucune rancoeur : il est tout simplement heureux d'avoir survécu à ce drâme. (...) Il ne se rend sans doute pas compte combien son témoignage a été important pour nous, on ne le remerciera jamais assez." -What is your name ? -My name is Kate Heaton. -How old are you ? -I’m 22 years old. -Where are you from ? - I’m from Southern California, I live between Los Angeles and San Diego in a city called Fullerton. -What are your hobbies ? -I enjoy multi media art journaling, a form of self expression that combines everyday objects and various art mediums. I also love to travel. -Where did you study and what was your major ? -I studied at the University of Redlands and majored in sociology and French. -Why are you at Schweitzer ? -I am an English teacher assistant. -Do you like the high school ? - I love Schweitzer, I enjoy working with all the teachers and students. -Why did you choose to work in France ? -I studied French in high school and at my university and I also studied abroad in France for a semester and I wanted to return to France. I enjoy teaching and working with high schoolers. -Do you like the life in France ? -I love living in Alsace. I love the marché in Mulhouse and I love the sun in the south of France. I also enjoy visiting museums. -Which museums have you visited in Alsace ? - I have been to the Musée Historique and the Musée Beaux-Arts. -When are you leaving France ? -I hope to stay here for a long time ! -What do you think about the American election ? - -soupir- Ugh. -Do you miss your family ? -I don’t miss my family too much because I’m really happy here. I feel supported and welcomed. I’m lucky because my sister is coming for Christmas. -What are you doing for Christmas ? - For Christmas, I’m going to Italy with my sister because we have family there. -Do you like the French food ? - I love the French food ! I really love tartes flambées and bread ! Interview lead by: Arsène Meistertzheim, Morgan Moraix, Pauline Gauthier, Naemi Schacherer Les 3 et 4 novembre, deux classes du lycée se sont rendues à Paris dans le cadre d'un voyage scolaire… Récit d'un séjour peu commun. Un soir dégagé de novembre, le car emmenant les classes de Tes1 et Ts1 et leurs professeurs Madame Ebel, Madame Megchiche, Madame Koch, Monsieur Helsly et Monsieur Schirmann file direction la capitale. Au petit matin, les élèves se réveillent aux portes de la ville lumière dans les traditionnels bouchons du périphérique. Et quand enfin l'autocar s'arrête dans Paris, pour le petit groupe, tout de même constitué d'une cinquantaine d'élèves, c'est un soulagement. Mais pas de répit car ces deux jours vont être sportifs. Au programme du jeudi matin, visite du square de Bercy et de son aréna : l'Accord Hotel pour assister aux 8èmes de finale du masters 1000 de Tennis. Trois rencontres sont au programme pour notre groupe dont le français Richard Gasquet ou encore le numéro 1 mondial Novak Djokovic. La découverte de l'immense salle et l'intensité des échanges constitua une bonne expérience. Le soir, après un repas en restaurant universitaire le groupe a eu le droit à une visite de Paris et de ses principaux monuments… dont l'incontournable Tour Eiffel. Après une bonne nuit de sommeil passée à l’hôtel, le groupe s'est rendu en métro à l'Assemblée Nationale divisé en deux groupes. Le premier a passé une visite sans encombres et a parfaitement pris connaissance du lieu. Le deuxième en a fait de même malgré un souci à l'entrée. Les élèves ont même pu assister à une session dans l'hémicycle même si traditionnellement le vendredi est rarement un jour de session. L’après-midi, la cité des sciences était au programme avec des expositions sur la ville de demain ou encore sur les troubles cognitifs. Le soir, l'émission « le Quotidien » a accueilli nos Mulhousiens. Ce fut pour nous une occasion de voir comment se déroule une émission de télévision. Le retour s'est bien passé et le séjour s'est achevé comme il avait commencé sur le parking du lycée a 4h du matin. Résultats des matches de la session vus par nos lycéens: M. Cilic - D. Goffin 6/3 7/6 R.Gasquet-J.Sock 6/2 3/6 7/5 N.Djokovic-G.Dimitrov 4/6 6/2 6/3 Gautier HENGY |
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